Chère amie,
Te souviens-tu de cet automne? Les quelques pas de ton arrivée en terroir breton? Le mien. C’était là. Elle est toujours aussi belle cette gare , dans ses habits art nouveau. Elle me voit passer chaque jour, deux fois par jour. Et chaque fois, moi, je me souviens de tes pas, de ton sourire à me revoir, de ton regard inquiet vers André et … de la pluie qui allait nous plomber tout le week-end! Vivement ta prochaine visite.
Je t’embrasse
Sylvie
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